.

C la nuit qui se léve quand le jour ne suffit plus a faire oublier nos peines Ah vraiment, y a des jours anthracites. l’âme des violons, l’ambitus. superlativement ennuyeux. je dis vides, car tous sont clairs et doivent être bleu ciel, pareils au fil des lames où s’accrochent une étoile de lumière transparente, bleus et vides comme les fenêtres des immeubles en construction. ils sont, ces yeux, sans apparent mystère, comme certaines villes closes: Lyon, Zurich, et ils m’hypnotisent autant que le théâtres vides, les prisons désertes, les machineries au repos, les déserts, car les déserts sont clos et ne communiquent pas avec l’infini.

Je veux que le temps n’ait pas de valeurs
Créer en la vie milles directions à travers des paris achevés
Mon esprit fait des siennes croyez-vous, où est-ce la vérité qui

le tord ?

Vous pouvez poser la question à plusieurs reprises

(...)

Anthony Naglaa
Sophie Fontanel
Jean Genet
Liquid Sunshine

rest

a-t-on bien observé à quel point l’oisiveté ou une semi-oisiveté est nécessaire à toute vie vraiment religieuse. l’oisiveté à laquelle je pense l’oisiveté héréditaire qu’on a dans le sang celle où se mèle des sentiments automatiques que le travail est une honte, qu’il avilit l’âme et le corps. a-t’on réfléchi que ce goût du travail qui caractérise l’époque moderne, cette assiduité bruyante, avare de son temps, fière d’elle même, sottement fière, nous dresse et nous prépare mieux que tout à l’incroyance. (Nietszche)

musik: "i should take it anyway" poni hoax